Nos valeurs nous amènent à créer des réflexes défensifs profondément ancrés et très peu conscients.
Les révéler permet très souvent de s’ouvrir à de plus grandes opportunités d’action
Le respect de l’autre en particulier peut profondément inhiber le champ d’action
Un exemple de coaching que j’ai effectué récemment : A., chef de projet, se refuse de proposer à des anciens collaborateurs de la rejoindre sur un projet à durée limitée. Sa crainte, qu’ils se coupent d’opportunités futures. Ce faisant elle accepte de se sacrifier et de limiter les chances de succès de son projet. A la question : est que croire au libre arbitre de ses collaborateurs est aussi une forme de respect ? D’autres possibilités en accord avec ses valeurs profondes se dessinent pour le respect des autres et du sien.
Beaucoup de managers se retrouvent face à des dilemmes éthiques avec des options antagonistes, et toutes moralement justifiées, porteuses de valeurs qui leur sont chères telle que la loyauté à une entreprise d’un côté et le respect de ses co-équipiers de l’autre.
Pas toujours simple de choisir lesquelles adopter.
Une des questions qui m’aident souvent pour mes propres choix
Si je dis non à cette option, à quoi je dis oui ?
Si je dis oui à cette option, à quoi je dis non …
Puis je combine le meilleur des 2 réponses dans une nouvelle option (avec parfois quelques techniques de créativité !!).